Soit f une fonction de E dans F.

NB: Certains éléments de F peuvent ne pas avoir d'antécédent par f. Par contre, tous les éléments de E ont une image unique par f.
Deux cas se présentent:
Il faut retenir:
ATTENTION !!!! Les fonctions étudiées sont toujours définies sur des intervalles ou des réunions d'intervalles.
Deux fonctions f et g sont égales si et seulement si:

Il ne faut jamais oublier la première condition, qui est nécessaire.

Pour déterminer si une application f de E dans F est une bijection, on peut résoudre l'équation f(x)=b où b est un élément quelconque de F.
L'application f est bijective si et seulement si pour tout b de F, l'équation f(x)=b admet une solution et une seule dans E.
Cela permet de réduire l'étude d'une fonction sur un intervalle réduit de l'ensemble de définition de cette fonction.
Mais, attention, il faut toujours expliquer pourquoi, à partir de la connaissance de f sur un petit intervalle, on peut connaître f sur son ensemble de définition entier.
Rappels:

Les fonctions
sont paires quand n est un entier pair et impaires quand n est un entier impair.
Dans un repère orthonormal :
Exemples : Les paraboles 
L'axe de symétrie (O y) est appelé l'axe de la parabole.


L'origine O du repère est le centre de l'hyperbole.

Pour déterminer si une fonction est paire ou impaire:

Pour montrer qu'une fonction admet la droite d'équation x=a comme axe de symétrie, il existe 3 méthodes:
, puis que f(a-h)=f(a+h).
)
est la courbe représentative
d'une fonction F paire dans le repère
(
, i, j ),
ayant pour coordonnées (a; 0) dans le repère
(O, i, j ). F vérifie alors Y=F(X). On obtient les formules suivantes de changement de repère : 
, j).
Pour montrer qu'une fonction admet le point A comme centre de symétrie, il existe 3 méthodes:
) est la courbe représentative
d'une fonction F impaire dans le repère
(
, i, j ),
ayant pour coordonnées (a;b) dans le repère (O, i, j ). F vérifie alors Y=F(X).
Voici un tableau à connaître par cœur :
| f | g | Opération : * | Variations f*g |
| Croissante | K*f | Décroissante si k<0 Croissante si k>0 |
|
| Décroissante | K*f | Décroissante si k>0 Croissante si k<0 |
|
| Croissante | Croissante | f + g | Croissante |
| Décroissante | Décroissante | f + g | Décroissante |
| Croissante | Croissante | f.g avec f >=0 et g >= 0 | Croissante |
| Décroissante | Décroissante | f.g avec f>=0 et g>=0 | Décroissante |
| Croissante sur E | Croissante sur E' avec E' E |
gof | Croissante |
| Croissante sur E | Décroissante sur E' avec E' E |
gof | Décroissante |
| Décroissante sur E | Croissante sur E' avec E' E |
gof | Décroissante |
| Décroissante sur E | Décroissante sur E' avec E' E |
gof | Croissante |
Remarque sur les compositions de fonction
Quelques remarques sur les fonctions majorées
Rappel :
Ainsi, grâce à la périodicité et la parité des fonctions trigonométriques, on peut restreindre l'étude de ces fonctions à un intervalle réduit.
ASTUCE :

